Ils voudraient sonner le glas de l'espoir au bénéfice de leurs intérêts nationalistes.
De ce confinement, je nous voudrais matures, dignes, transformés de l'intérieur et prêts pour le grand bouleversement de nos comportements, de nos consommations. Respectueux.
Nous considérer enfin pour ce que nous sommes, éléments de la création et non centre de cette dernière.
Éléments humbles qui concourent à enrichir tout ce qui nous entoure plutôt que de le détruire.
Permaculteurs enchantés de la vie et de notre environnement. Relevant le défi de l'humanité depuis longtemps pressenti par un Pierre Rabhi.
Quand aujourd'hui, nous ne sommes qu'un élément atypique, devenu fou, incontrôlable. Telle une cellule cancéreuse dans le corps humain, nous détruisons tout ce qui nous entoure, nous le phagocytons seconde après seconde sans plus rien respecter, sans plus rien regarder que le désir de dominer et détruire.
Et que fait-on aux cellules cancéreuses, on leur balance des chimiothérapies, dans une réponse mesurée et progressive, pour finalement détruire aux biocides tout ce qui vit encore en nous.
La terre ne fait qu'appliquer cette stratégie à notre espèce. Cette fois encore, le traitement est encore léger et soutenable, ce qui n'enlève rien à la clarté du message.
Il y aura un « avant » et un « après », certes. Cette lapalissade n'engage personne. Reste donc à savoir quel « après » puisque « l' avant », nous le connaissons.
Notre Président l'a promis. Et il tient ses promesses !
Il y a bien eu un « avant » et un « après » Macron. Notre monde n'est déjà plus le même. Ni celui du travail, ni celui de la santé, ni celui de l'éducation, ni le monde des riches, ni le monde des pauvres, ni celui des retraités et futurs retraités. Il a poursuivi le laborieux démantèlement engagé par ses nombreux (trop) prédécesseurs... Hollande, Sarkozy, Chirac et leurs prestigieux premiers sinistres. Avec eux aussi, il y eut un « avant » et un « après » !
A chaque fois, on préférait « avant » !