07/05/20 -JOur 50- Professeur Raoult et les traitements
J'ai voulu intitulé cet article du nom du Professeur RAOULT parce qu'il symbolise tout l'enjeu de ce qui se passe dans le domaine médical et politico-médical lié à cette crise; parce que j'avais aussi envie de le citer explicitement, pour faire suite à ce que j'écrivais sur l'obscurantisme le 17 avril (http://www.rickyben.com/Vidoc91/200417.htm) .
Avec ma défiance vis à vis du corps médical rigide et bien rangé, lorsque je les ai vu se jeter sur le Pr Raoult pour le décrédibiliser, le déstabiliser, le ridiculiser, il n'en fallait pas davantage pour que je m'y intéresse d'un peu plus près.
A les entendre, c'est selon, il fallait qu'il « ferme sa gueule », qu'il redevienne un peu sérieux, qu'il revoie ses méthodes, qu'il sorte de sa tour d'ivoire ou descende de son piédestal... Bref qu'il ressemblait plus à un professeur Nimbus qu'à autre chose.
Il avait en tout l'air de gêner bien du monde. C'est là que ça devient intéressant.
Et on peut le comprendre puisqu'il proposait un traitement là où personne n'en avait et où ses pairs préféraient lancer de grandes études coûteuses et longues et incertaines, selon des méthodes officielles (groupe placebo, double aveugle...) permettant si ce n'est de prouver ou non l'efficacité d'un médicament, au moins de sacrifier la portion de malades qui recevaient le placebo !
Tout cela aurait pu paraître « normal » dans un contexte où nous disposions du temps nécessaire et où le médicament en question était inconnu et non testé.
En l'occurrence, l'hydroxychloroquine est connue et administrée depuis une trentaine d'année mais la caste des sachants découvraient tout à coup d'affreux risques cardiaques !
De même pour l'azithromycine qui est un antibiotique largement connu et sur le marché depuis des décennies.
On nous a donc mené en bateau pendant des semaines sur une formidable étude (Discovery) menée dans les règles de l'art et dont les résultats seraient exceptionnellement connus dans des délais extrêmement courts, compte-tenu de l'urgence, entre début et le 10 avril... le 7 mai, on attend toujours ! Évidemment, 25 000 morts cumulés c'est peu !.
Est-ce qu'on n'appelle pas cela (ces médecins, ces scientifiques) des criminels, avant même d'être des incompétents ; ceux qui ont délibérément fait ces choix contraires aux principes de la médecine qui est de soigner, en reniant le serment d’Hippocrate ! ? pendant qu'ils délibèrent et tergiversent, le s malades s'accumulent, s'asphyxient et meurent ; les soignants peinent, souffrent, suent, désobéissent (heureusement) et eux, eux, terminent leur Cognac dans les salons dorés de la républico-monarchie.
Revenons au Pr Raoult et jugeons nous-mêmes des capacités de ce scientifique parmi les plus grands spécialistes mondiaux en virologie et bactériologie.
Rappelons qu'en 2003, le gouvernement lui demande une étude sur bioterrorisme et qu'il note l'impréparation de la France en la matière, le système hospitalier inadapté et met en avant le risque majeurs des pandémies !
On diabolise un personnage reconnu par ses pairs, les vrais, reconnu aussi par la nation (chevalier de la Légion d'Honneur, ordre national du mérite …). On peut rire.
Il possède certes des travers qui peuvent interroger quant à son rapport aux médias mais c'est une stratégie, peut-être la seule à même de faire passer les messages qui seraient restés dans le fond des tiroirs de son Institut s'il avait attendu qu'on s'intéresse sérieusement à ses études et ses résultats.
Une de ses vidéos, que je joins à cet article en dis bien plus long que n'importe quoi.
Les cinglés, hors de toute réalité, sont à chercher ailleurs !
https://youtu.be/Bh5exajcXlk
Revenons à ces grandes études en cours sur les traitements.
Le 29 avril, une dépêche annonçait avec fracas dans ce cadre les effets très positifs du Remdesivir (anti viral utilisé pour le virus Ebola). Et le laboratoire américain Gilead (propriétaire du brevet) d'attendre un bond de ses actions...
Hummm, le pactole en vue … !
Et je regarde cette étude qui, tout d'abord, vient après une étude chinoise, contre placebo portant sur 450 personnes et publiée par le Lancet, concluant le contraire, c'est à dire à une inefficacité totale : mortalité identique avec ou sans médicament !
Et cette nouvelle étude donc conclut en réalité qu'avec ce médicament, les malades qui guérissent, guérissent plus vite : Ah ah ah !
Voilà donc le médicament miracle ! Quant à son effet réel : la nouvelle étude confirme l’étude chinoise : aucun effet sur la mortalité, strictement identique avec ou sans le Remdesivir.
Je fais aussi quelques recherche sur le coût : 1$ par jour environ... Comme ça, ça ne me paraît excessif mais c'est à mettre en parallèle d'un autre médicament comme l'hydroxychloroquine qui coûte 10 fois moins cher associé à l'azithromycine !! C'est loin d'être la même chose sur des millions de patients.
FOUTAISES !
On en revient alors à des choses plus sérieuses, pendant que des centaines, des milliers de chercheurs s'acharnent sur la découverte de la poule aux œufs d'or vaccinale, pendant que ces études contre placebo laissent se remplir les cercueils bon marchés...
Il y a quelques jours, on apprend que le premier cas de Covid-19 en France remonte au mois de décembre et un urgentiste bien connu et médiatique (G Kierzek pour ne pas le nommer) indique qu'il est vrai que déjà à cette époque de l'année, ils voyaient arriver des pneumopathies atypiques (sous-entendu, certainement dues au Covid-19) et qu'ils les traitaient aux antiobiotiques... (azithromycine?).
Il faut dire que le problème essentiel n'est, au stade pathologique et dangereux de la maladie, pas le virus puisqu’il n'est alors quasiment plus présent dans le corps du malade (On peut dès lors réellement s'interroger sur la pirouette qui permettrait d'espérer le moindre effet à ce stade d'un antiviral, tel le Remdesivir).
Les traitements vont alors dans une autre direction et c'est ce qu'avancent diverses études relatées dans cet article très bien documenté (références des études scientifiques etc) « d'alternative santé » que je joins en annexe.
https://www.alternativesante.fr/coronavirus/covid-19-la-piste-du-microbiote-vers-un-nouveau-paradigme .
Le problème se situant au niveau d'une bactérie du microbiote intestinal, la Prevotella en l'occurrence, infectée par le virus, et, comme par hasard, sur-présente chez les obèses, quasi absente chez les enfants... les deux populations respectivement les plus et les moins touchées... Sans parler des diabétiques...
Bref, l'équilibre et la qualité du microbiote intestinal expliquerait les disparités des populations touchées.
Les liens du microbiote intestinal et pulmonaire sont tels que l'attaque des poumons par ce biais est une piste plus que sérieuse.
Outre l'importance des microbiotes efficaces dans les réponses immunitaires et donc d'une alimentation adaptée de qualité, les traitements là aussi se dirigent vers les antibiotiques bien connus comme l'azithromycine.
En parallèle, trois médecins (ceux qui ont à cœur de soigner leurs patients !), mosellans et belge en l'occurrence, faisaient état de leurs résultats sur base de l'administration du même antibiotique, associé à du zinc pour en renforcer l'efficacité... Sur leur échantillon « à risques » de plusieurs centaines de patients, ils auraient statistiquement dû faire face à plusieurs décès... quand aucun n'est à déplorer.
Et que fait-on de tout cela, rien... Pas assez sérieux, pas assez cher !
Le professeur Raout mentionne cette « désobéissance » des médecins à la doctrine officielle qu'on a voulu leur imposer, leur laissant simplement le choix de ne rien faire pour leurs patients, les regarder mourir et leur administrer les sédatifs utiles de façon à ce que tout se passe dans le plus grand confort !
Que ces médecins soient honorés et félicités pour le respect de leur serment et de leur métier.
Ils sont la fierté de notre pays bien plus que les envoyés spéciaux du gouvernement présents sur toutes les scènes médiatiques.
http://www.leparisien.fr/amp/societe/sante/coronavirus-trois-medecins-generalistes-pensent-avoir-trouve-un-possible-remede-13-04-2020-8298963.php
Avec ma défiance vis à vis du corps médical rigide et bien rangé, lorsque je les ai vu se jeter sur le Pr Raoult pour le décrédibiliser, le déstabiliser, le ridiculiser, il n'en fallait pas davantage pour que je m'y intéresse d'un peu plus près.
A les entendre, c'est selon, il fallait qu'il « ferme sa gueule », qu'il redevienne un peu sérieux, qu'il revoie ses méthodes, qu'il sorte de sa tour d'ivoire ou descende de son piédestal... Bref qu'il ressemblait plus à un professeur Nimbus qu'à autre chose.
Il avait en tout l'air de gêner bien du monde. C'est là que ça devient intéressant.
Et on peut le comprendre puisqu'il proposait un traitement là où personne n'en avait et où ses pairs préféraient lancer de grandes études coûteuses et longues et incertaines, selon des méthodes officielles (groupe placebo, double aveugle...) permettant si ce n'est de prouver ou non l'efficacité d'un médicament, au moins de sacrifier la portion de malades qui recevaient le placebo !
Tout cela aurait pu paraître « normal » dans un contexte où nous disposions du temps nécessaire et où le médicament en question était inconnu et non testé.
En l'occurrence, l'hydroxychloroquine est connue et administrée depuis une trentaine d'année mais la caste des sachants découvraient tout à coup d'affreux risques cardiaques !
De même pour l'azithromycine qui est un antibiotique largement connu et sur le marché depuis des décennies.
On nous a donc mené en bateau pendant des semaines sur une formidable étude (Discovery) menée dans les règles de l'art et dont les résultats seraient exceptionnellement connus dans des délais extrêmement courts, compte-tenu de l'urgence, entre début et le 10 avril... le 7 mai, on attend toujours ! Évidemment, 25 000 morts cumulés c'est peu !.
Est-ce qu'on n'appelle pas cela (ces médecins, ces scientifiques) des criminels, avant même d'être des incompétents ; ceux qui ont délibérément fait ces choix contraires aux principes de la médecine qui est de soigner, en reniant le serment d’Hippocrate ! ? pendant qu'ils délibèrent et tergiversent, le s malades s'accumulent, s'asphyxient et meurent ; les soignants peinent, souffrent, suent, désobéissent (heureusement) et eux, eux, terminent leur Cognac dans les salons dorés de la républico-monarchie.
Revenons au Pr Raoult et jugeons nous-mêmes des capacités de ce scientifique parmi les plus grands spécialistes mondiaux en virologie et bactériologie.
Rappelons qu'en 2003, le gouvernement lui demande une étude sur bioterrorisme et qu'il note l'impréparation de la France en la matière, le système hospitalier inadapté et met en avant le risque majeurs des pandémies !
On diabolise un personnage reconnu par ses pairs, les vrais, reconnu aussi par la nation (chevalier de la Légion d'Honneur, ordre national du mérite …). On peut rire.
Il possède certes des travers qui peuvent interroger quant à son rapport aux médias mais c'est une stratégie, peut-être la seule à même de faire passer les messages qui seraient restés dans le fond des tiroirs de son Institut s'il avait attendu qu'on s'intéresse sérieusement à ses études et ses résultats.
Une de ses vidéos, que je joins à cet article en dis bien plus long que n'importe quoi.
Les cinglés, hors de toute réalité, sont à chercher ailleurs !
https://youtu.be/Bh5exajcXlk
Revenons à ces grandes études en cours sur les traitements.
Le 29 avril, une dépêche annonçait avec fracas dans ce cadre les effets très positifs du Remdesivir (anti viral utilisé pour le virus Ebola). Et le laboratoire américain Gilead (propriétaire du brevet) d'attendre un bond de ses actions...
Hummm, le pactole en vue … !
Et je regarde cette étude qui, tout d'abord, vient après une étude chinoise, contre placebo portant sur 450 personnes et publiée par le Lancet, concluant le contraire, c'est à dire à une inefficacité totale : mortalité identique avec ou sans médicament !
Et cette nouvelle étude donc conclut en réalité qu'avec ce médicament, les malades qui guérissent, guérissent plus vite : Ah ah ah !
Voilà donc le médicament miracle ! Quant à son effet réel : la nouvelle étude confirme l’étude chinoise : aucun effet sur la mortalité, strictement identique avec ou sans le Remdesivir.
Je fais aussi quelques recherche sur le coût : 1$ par jour environ... Comme ça, ça ne me paraît excessif mais c'est à mettre en parallèle d'un autre médicament comme l'hydroxychloroquine qui coûte 10 fois moins cher associé à l'azithromycine !! C'est loin d'être la même chose sur des millions de patients.
FOUTAISES !
On en revient alors à des choses plus sérieuses, pendant que des centaines, des milliers de chercheurs s'acharnent sur la découverte de la poule aux œufs d'or vaccinale, pendant que ces études contre placebo laissent se remplir les cercueils bon marchés...
Il y a quelques jours, on apprend que le premier cas de Covid-19 en France remonte au mois de décembre et un urgentiste bien connu et médiatique (G Kierzek pour ne pas le nommer) indique qu'il est vrai que déjà à cette époque de l'année, ils voyaient arriver des pneumopathies atypiques (sous-entendu, certainement dues au Covid-19) et qu'ils les traitaient aux antiobiotiques... (azithromycine?).
Il faut dire que le problème essentiel n'est, au stade pathologique et dangereux de la maladie, pas le virus puisqu’il n'est alors quasiment plus présent dans le corps du malade (On peut dès lors réellement s'interroger sur la pirouette qui permettrait d'espérer le moindre effet à ce stade d'un antiviral, tel le Remdesivir).
Les traitements vont alors dans une autre direction et c'est ce qu'avancent diverses études relatées dans cet article très bien documenté (références des études scientifiques etc) « d'alternative santé » que je joins en annexe.
https://www.alternativesante.fr/coronavirus/covid-19-la-piste-du-microbiote-vers-un-nouveau-paradigme .
Le problème se situant au niveau d'une bactérie du microbiote intestinal, la Prevotella en l'occurrence, infectée par le virus, et, comme par hasard, sur-présente chez les obèses, quasi absente chez les enfants... les deux populations respectivement les plus et les moins touchées... Sans parler des diabétiques...
Bref, l'équilibre et la qualité du microbiote intestinal expliquerait les disparités des populations touchées.
Les liens du microbiote intestinal et pulmonaire sont tels que l'attaque des poumons par ce biais est une piste plus que sérieuse.
Outre l'importance des microbiotes efficaces dans les réponses immunitaires et donc d'une alimentation adaptée de qualité, les traitements là aussi se dirigent vers les antibiotiques bien connus comme l'azithromycine.
En parallèle, trois médecins (ceux qui ont à cœur de soigner leurs patients !), mosellans et belge en l'occurrence, faisaient état de leurs résultats sur base de l'administration du même antibiotique, associé à du zinc pour en renforcer l'efficacité... Sur leur échantillon « à risques » de plusieurs centaines de patients, ils auraient statistiquement dû faire face à plusieurs décès... quand aucun n'est à déplorer.
Et que fait-on de tout cela, rien... Pas assez sérieux, pas assez cher !
Le professeur Raout mentionne cette « désobéissance » des médecins à la doctrine officielle qu'on a voulu leur imposer, leur laissant simplement le choix de ne rien faire pour leurs patients, les regarder mourir et leur administrer les sédatifs utiles de façon à ce que tout se passe dans le plus grand confort !
Que ces médecins soient honorés et félicités pour le respect de leur serment et de leur métier.
Ils sont la fierté de notre pays bien plus que les envoyés spéciaux du gouvernement présents sur toutes les scènes médiatiques.
http://www.leparisien.fr/amp/societe/sante/coronavirus-trois-medecins-generalistes-pensent-avoir-trouve-un-possible-remede-13-04-2020-8298963.php
© Eric Benoit
