Chronique d'une déconfiture annoncée
Voici quelques mots très modestes. Écrits au jour le jour. Pas chaque jour...  
« Tout ce que je sais c'est que je ne sais rien » : certainement mon seul point commun avec Socrate...  
Je vois, j'entends, je réagis, je comprends. Un peu. Je me trompe. Je suis victime, tant du défaut d'information que de la surinformation, et de la désinformation. L'un et l'autre introduisent des comportements défaillants et dangereux.  
Il ne s'agit pas d'une tribune politique, non. Juste des espoirs vifs, des déceptions tout autant, des craintes et une foi en la vie. J'ai en ce sens choisi la couleur verte, celle de l'espérance, pour le symboliser.  
C'est aussi la Chronique d'une déconfiture annoncée.  Annoncée parce que l'on savait.  
Mais annoncée aussi par les effets terribles qu'elle aura si nous n'y prenons pas notre part, si nous n'entendons pas le message. 
Au final, ce que je retiens AVANT TOUT, c'est l'espoir et la foi en la VIE ; l'appel désespéré d'un retour à la nature, notre nature
© Eric Benoit